Sculptures, dessins
La mémoire des choses
→ lire ← fermerLa galerie Le corridor est heureuse de présenter La mémoire des choses, une exposition rassemblant les œuvres de Dominique Lonchampt, Michel Rey et Sylvère.
Une même approche expérimentale et sensible de la matière privilégiant les couleurs pigmentaires, cendre, noir, ocre, réunit ces trois artistes autour d’un questionnement sur le temps. Plus précisément sur la survivance dans la mémoire du rapport intime aux « choses », sur leur disparition, regrettée ou souhaitée.
Pour réaliser ses dessins comme ses sculptures, Dominique Lonchampt s’intéresse aux objets usuels, oubliés, rouillés, et accumulés avec passion.
Dans ses dessins elle intervient, à l’aide de différents outils et médiums, sur les empreintes de poussières d’oxydes d’objets rouillés, une façon d’en sauvegarder la trace à la fois corporelle et évanescente.
Moulés en papier calque amidonné, agencés, assemblés, les objets deviennent aussi sculptures, exuvies*, métamorphoses allégoriques et poétiques de choses laissées pour compte, présences fantômes de gestes et souvenirs d’usage.
* Exuvie : Peau rejetée par l’animal lors de sa mue
20 avril au 18 mai 2024
→ lire ← fermerVernissage samedi 20 avril de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h à 19h et sur rendez-vous
Déambulation Festival du dessin : dimanche 21 avril de 10h à 15h
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
Photographie plasticienne
La mémoire des choses
→ lire ← fermerLa galerie Le corridor est heureuse de présenter La mémoire des choses, une exposition rassemblant les œuvres de Dominique Lonchampt, Michel Rey et Sylvère.
Une même approche expérimentale et sensible de la matière privilégiant les couleurs pigmentaires, cendre, noir, ocre, réunit ces trois artistes autour d’un questionnement sur le temps. Plus précisément sur la survivance dans la mémoire du rapport intime aux « choses », sur leur disparition, regrettée ou souhaitée.
Dans la série photographique Hantise de Michel Rey, les bouteilles plastiques déformées et peintes à la cendre, solitaires, groupées ou accumulées en tas, s’apparentent à des formes tremblantes, innommables, anachroniques. Apparitions charnelles de notre consumérisme, ces images spectrales, nous regardent, nous interpellent. Ni présentes, ni absentes, elles ont sur nous un droit de regard, sans réciprocité. Comment se débarrasser de ces traces-archives, les exorciser, les chasser une seconde fois, voire en faire le deuil à jamais ?
20 avril au 18 mai 2024
→ lire ← fermerVernissage samedi 20 avril de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h à 19h et sur rendez-vous
Déambulation Festival du dessin : dimanche 21 avril de 10h à 15h
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
Peinture en volume
Poétique de l'hybride
→ lire ← fermerLe Corridor expose cet été deux artistes que réunit le recours à l’hybridation féconde entre différentes disciplines – photo-montages chez Yael Burstein, synthèse de la peinture et de la sculpture chez Antoine Salle. Les deux artistes métamorphosent le connaissable, suscitant chez le spectateur un dépaysement esthétique, qui le déstabilise, le capte et l’interroge sur sa relation à l’œuvre regardée.
Antoine Salle insère la couleur dans l’espace ». Ses peintures en relief sont préparées avec des rebuts -carton, mousse et emballages de matières diverses- volumes qu’il façonne et recouvre de couleurs pastel, acidulées ou fluorescentes jusqu’à masquer le matériau d’origine, et donner l’illusion d’une substance autre, troublante, difficile à définir : céramique ? silicone ?... Il leur attribue des titres facétieux et intrigants.
L’objet final déconcerte et séduit. Sa présence singulière s’affirme dans le rapport qui s’instaure entre le modelé de la sculpture, la question de son poids et de sa matérialité, la palette des couleurs et les jeux de lumière sur les volumes peints. Resté brut, une tranche colorée se reflétant parfois sur le mur, il est étonnamment élégant, minimal, gourmand, sensuel et teinté d’humour. Et, mine de rien, il nous invite à questionner notre appréhension de l’objet d’art, son rapport à l’espace et notre perception de la peinture.
02 juillet au 02 septembre 2023
→ lire ← fermerVernissage dimanche 02 juillet de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h30 – 19h30 et sur rendez-vous
Fermeture galerie : semaine du 29 juillet au 05 août
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
Photographie plasticienne
Poétique de l'hybride
→ lire ← fermerLe Corridor expose cet été deux artistes que réunit le recours à l’hybridation féconde entre différentes disciplines – photo-montages chez Yael Burstein, synthèse de la peinture et de la sculpture chez Antoine Salle. Les deux artistes métamorphosent le connaissable, suscitant chez le spectateur un dépaysement esthétique, qui le déstabilise, le capte et l’interroge sur sa relation à l’œuvre regardée.
La pratique artistique de Yael Burstein est expérimentale. En associant photographies, collages et peinture, elle réalise des photo-montages déroutants et d’une grande force poétique auxquels les jeux d’optique entre volumes et planéité apportent mystère et profondeur, effroi et enchantement.
Les images d’intérieurs calmes et ordonnés, découpées dans de vieux magazines sont en partie masquées par l’intrusion d’éléments extérieurs naturels : arbres arrachés, éboulis de roches, coulée de sable du désert. Dans les petits formats, c’est un geste pictural intense, rose, ou bleu vif, qui vient s’inscrire sur le sofa, le couloir, ou la rue. L’univers hétérogène de ses photographies chargées d’une symbolique très forte revient à les inscrire dans une histoire singulière. Le familier devient effrayant. L’irrationnel envahit le quotidien. Peurs émanant de l’enfance ? Rupture d’un récit cohérent ? Métaphores sur la relation entre histoire et mémoire ? Visions de catastrophes anciennes ou annoncées ?
02 juillet au 02 septembre 2023
→ lire ← fermerVernissage dimanche 02 juillet de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h30 – 19h30 et sur rendez-vous
Fermeture galerie : semaine du 29 juillet au 05 août
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
moderato cantabile
→ lire ← fermerPour cette première exposition à la galerie Le Corridor, Olivier Bartoletti et Sylvie Romieu présentent un ensemble d’œuvres aussi poétiques qu’ingénieuses, réalisées à partir d’objets du quotidien, détournés de leur usage et réutilisés dans des compositions aux multiples déclinaisons. La locution italienne moderato cantabile, qui donne son titre à l’exposition, s’est imposée pour réunir deux artistes qui pratiquent avec des petits riens, un art savant, sensible et mélodique.
Olivier Bartoletti élabore un lexique personnel où l’objet rebut est tour à tour matière et outil de ses peintures et dessins. Chez cet artiste, la peinture devient mise en volume et construction, « le tube de peinture, a été remplacé par le tube coloré du coton-tige » *, il devient l’élément de base de tissages reliés par du fil de pêche. Dans ses derniers travaux, il utilise des allumettes sur lesquelles il appose de la peinture pour réaliser des trames harmoniques flottant dans l’espace. Ces tissages, aériens, colorés, rigoureusement rythmés, s’ordonnent dans une abstraction mouvante et émouvante. Depuis peu, Olivier Bartoletti dessine à la pointe calcinée d’allumettes des tracés simples qu’il multiplie en cadence, en noir sur un fond blanc, parfois ponctués d’une touche de couleur. Cet archipel de signes qu’il renouvelle en subtiles variations sous différents formats témoigne de la résonance musicale dans l’imaginaire de l’artiste.
Sylvie Romieu pratique différents médiums : photographie, sculpture, écriture, qu’elle combine pour concevoir des fictions, en jouant sur le réel et l’irréel, depuis l’espace de sa maison. Ancrée dans son territoire des Corbières, dans la maison de son enfance, elle en connait les paysages et les plantes. Elle guette, observe les « presque riens » **, glane les brindilles, les herbes sauvages négligées qu’elle détourne de leur milieu, pour en faire la matière de compositions, nouveaux « habitats » fragiles, délicates sculptures-habitacles que recouvre un cube de plexiglas ou une cloche de verre. C’est aussi depuis son grenier- atelier qu’elle photographie des cartes « pour se perdre » **, paysages imaginaires construits à partir de cartes IGN, évocations troublantes qui nous désorientent et nous questionnent. Parfois son travail prend le chemin d’une double représentation du réel, l’une donnée par la photographie du paysage et l’autre par l’insertion de reproductions artistiques d’animaux, de végétaux, qui viennent l’habiter et en révèlent l‘inquiétante beauté.
*Olivier Bartoletti
**Sylvie Romieu
Peintures
22 avril au 27 mai 2023
→ lire ← fermerVernissage samedi 22 avril de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h – 19h et sur rendez-vous
Pendant la nuit des musées du 13 mai ouverture de 15h – 22h
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
moderato cantabile
→ lire ← fermerPour cette première exposition à la galerie Le Corridor, Olivier Bartoletti et Sylvie Romieu présentent un ensemble d’œuvres aussi poétiques qu’ingénieuses, réalisées à partir d’objets du quotidien, détournés de leur usage et réutilisés dans des compositions aux multiples déclinaisons. La locution italienne moderato cantabile, qui donne son titre à l’exposition, s’est imposée pour réunir deux artistes qui pratiquent avec des petits riens, un art savant, sensible et mélodique.
Olivier Bartoletti élabore un lexique personnel où l’objet rebut est tour à tour matière et outil de ses peintures et dessins. Chez cet artiste, la peinture devient mise en volume et construction, « le tube de peinture, a été remplacé par le tube coloré du coton-tige » *, il devient l’élément de base de tissages reliés par du fil de pêche. Dans ses derniers travaux, il utilise des allumettes sur lesquelles il appose de la peinture pour réaliser des trames harmoniques flottant dans l’espace. Ces tissages, aériens, colorés, rigoureusement rythmés, s’ordonnent dans une abstraction mouvante et émouvante. Depuis peu, Olivier Bartoletti dessine à la pointe calcinée d’allumettes des tracés simples qu’il multiplie en cadence, en noir sur un fond blanc, parfois ponctués d’une touche de couleur. Cet archipel de signes qu’il renouvelle en subtiles variations sous différents formats témoigne de la résonance musicale dans l’imaginaire de l’artiste.
Sylvie Romieu pratique différents médiums : photographie, sculpture, écriture, qu’elle combine pour concevoir des fictions, en jouant sur le réel et l’irréel, depuis l’espace de sa maison. Ancrée dans son territoire des Corbières, dans la maison de son enfance, elle en connait les paysages et les plantes. Elle guette, observe les « presque riens » **, glane les brindilles, les herbes sauvages négligées qu’elle détourne de leur milieu, pour en faire la matière de compositions, nouveaux « habitats » fragiles, délicates sculptures-habitacles que recouvre un cube de plexiglas ou une cloche de verre. C’est aussi depuis son grenier- atelier qu’elle photographie des cartes « pour se perdre » **, paysages imaginaires construits à partir de cartes IGN, évocations troublantes qui nous désorientent et nous questionnent. Parfois son travail prend le chemin d’une double représentation du réel, l’une donnée par la photographie du paysage et l’autre par l’insertion de reproductions artistiques d’animaux, de végétaux, qui viennent l’habiter et en révèlent l‘inquiétante beauté.
*Olivier Bartoletti
**Sylvie Romieu
Médiums mixtes
22 avril au 27 mai 2023
→ lire ← fermerVernissage samedi 22 avril de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h – 19h et sur rendez-vous
Pendant la nuit des musées du 13 mai ouverture de 15h – 22h
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
temps soulevés
→ lire ← fermerL’exposition temps soulevés, qui réunit Caroline Duchatelet et Delphine Wibaux, invite à l’expérience sensible du temps - donner le temps de voir, devenir perméable à ce qui nous entoure. Les deux artistes pratiquent un art en lien intime avec la nature, végétale, minérale, l’air et la lumière. Toutes deux adoptent une attitude de guet, de veille, d’observation des éléments et de leurs subtiles métamorphoses. Leurs modes de faire, différents, rendent visibles les effets du temps et nous mettent en capacité de les recevoir.
Caroline Duchatelet filme la lumière et ses variations sur des paysages, avec notamment une série sur l’aube.
« Chaque paysage a sa lumière, ses lumières, son rythme, sa respiration, ses saisons. Marcher, attendre. S’accorder à ce paysage, à ses moments changeants. L’écouter, suivre une orientation, une surface d’accueil de la lumière. Y vivre les petites heures, celles de solitude, d’éveil, d’émergence du jour ou de sa fin. Ces heures qui effacent les limites, qui fondent les formes, qui atténuent la vue. Quand le temps se mesure encore au déplacement de l’ombre, quand il s’éprouve physiquement dans ses variations de températures. La lumière se lève ou se retire imperceptiblement. Elle fait respirer le paysage. Son rythme est souffle. » (Caroline Duchatelet)
Depuis peu, elle explore un nouveau geste photographique, les regards-respirations, un geste d’accueil guidé par l’écoute du paysage et le souffle de la respiration. L’image du paysage s’efface dans le flux d’une lumière qui s’imprime le temps d’un souffle. Caroline Duchatelet présente ici une série inédite réalisée à l’occasion d’une résidence de création en Camargue proposée par le Corridor, ainsi qu’une vidéo, vendredi 8 janvier, réalisée en 2021 dans la Meuse avec Vent des Forêts.*
* Centre d’art à ciel ouvert et résidence d’artistes.
Médiums mixtes
03 juillet au 03 septembre 2022
→ lire ← fermerVernissage dimanche 03 juillet de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h – 19h et sur rendez-vous
Fermeture du 30 juillet au 06 août
Pendant la première semaine des Rencontres de la photographie
de
10h à 12h et de 13h à 19h
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
temps soulevés
→ lire ← fermerL’exposition temps soulevés, qui réunit Caroline Duchatelet et Delphine Wibaux, invite à l’expérience sensible du temps - donner le temps de voir, devenir perméable à ce qui nous entoure. Les deux artistes pratiquent un art en lien intime avec la nature, végétale, minérale, l’air et la lumière. Toutes deux adoptent une attitude de guet, de veille, d’observation des éléments et de leurs subtiles métamorphoses. Leurs modes de faire, différents, rendent visibles les effets du temps et nous mettent en capacité de les recevoir.
La pratique de Delphine Wibaux est expérimentale. « Ce qui est en jeu dans la variété des techniques qu’elle utilise, c’est le passage du temps et l’écoute constamment maintenue de la nature. » (Jean-Christophe Bailly).
Les Absorptions, sont issues d’un long processus de captation, de recueil des traces et des empreintes visuelles produites par le soleil sur des surfaces végétales photosensibles préparées à partir de végétaux récoltés dans son environnement.
Ces « images mouvantes**» allient « photographie, nature, lumière, mémoire **». Inscrites dans une temporalité humaine, végétale et minérale, elles vont progressivement s’éclaircir jusqu’à une sorte de monochrome, qui restera habité d’indices de l’image qui a été présente. C’est le cas sur le long format Absorption, Tbilisi, point de départ de cette proposition, résultant d'une exploration du paysage en Géorgie.
Pour les Doubles Absorptions que Delphine Wibaux propose ici en parallèle, c’est une seconde image qui viendra se révéler sous la première, une fois que la première strate pigmentaire aura migré. Cette série fonctionne par vagues : vagues de perception, d'émergence et de transformation pour les regards attentifs, ouvrant vers un voyage sensoriel.
Echos aux Absorptions, les Témoins souples sont, quant à elles, des sculptures stabilisées, minérales, composées de céramiques et de pierres, réceptacles d’images inscrites dans la terre et dans la durée, formes archéologiques possibles pour un futur proche.
* * Delphine Wibaux
Médiums mixtes
03 juillet au 03 septembre 2022
→ lire ← fermerVernissage dimanche 03 juillet de 15h à 20h
Ouverture du mercredi au samedi : 15h – 19h et sur rendez-vous
Fermeture du 30 juillet au 06 août
Pendant la première semaine des Rencontres de la photographie
de
10h à 12h et de 13h à 19h
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
Réminiscences I et II
→ lire ← fermerL’exposition Réminiscences I et II réunit les portraits photographiques d’Alexandra Bellamy et les peintures abstraites de Françoise Deverre. Deux œuvres fortes, sensibles, inscrites dans l’histoire de la peinture et résolument contemporaines dans l’approche singulière qu’elles proposent, l’une des liens mère-enfant, l’autre de « la dimension chaotique » du monde.
Dans un rapport inversé à la traditionnelle représentation picturale de la mère et l’enfant depuis le Moyen-Age, c’est la mère que l’on « porte en soi » que les portraits d’Alexandra Bellamy questionnent à travers un protocole. La posture ou l’objet choisi par le modèle, bijou, foulard, vêtement, pour évoquer la mère deviennent la « concrétion » de la mémoire. La mise en scène sur un fond monochrome, éclairé d’une lumière douce, renvoie le sujet à son intériorité. Le regard se concentre, se retire, se perd. La légende qui accompagne ces portraits est percutante, dure ou drôle parfois, toujours émouvante. Ces tableaux dont l’organisation convoque la présence de la mère et en remémore l’absence sont, pour le regardeur, un appel troublant à un retour vers soi, vers sa propre intimité.
« Diversités et constance - Ordre et désordre », c’est ainsi que Françoise Deverre définit sa peinture. L’artiste, après 30 années de pratique sur la base du polyptyque, inaugure en 2018 de nouvelles séries. Les œuvres présentées dans l’exposition ont été réalisées ces quatre dernières années. Ce sont des toiles et des papiers pensés dans leur unicité. Toujours sans châssis, les œuvres font converger expressionnisme abstrait, informel, formes géométriques. Elles questionnent la peinture tout en proposant une mise en parallèle d’un monde fait de pluralités, de contradictions, de différences.
Peintures
07 mai au 04 juin 2022
→ lire ← fermerOuverture de la galerie
07 mai au 04 juin 2022
du mercredi au samedi : 15h – 19h
et
sur rendez-vous
Participation à la nuit des musées le samedi 14 mai, ouverture de 15h à minuit
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
Réminiscences I et II
→ lire ← fermerL’exposition Réminiscences I et II réunit les portraits photographiques d’Alexandra Bellamy et les peintures abstraites de Françoise Deverre. Deux œuvres fortes, sensibles, inscrites dans l’histoire de la peinture et résolument contemporaines dans l’approche singulière qu’elles proposent, l’une des liens mère-enfant, l’autre de « la dimension chaotique » du monde.
Dans un rapport inversé à la traditionnelle représentation picturale de la mère et l’enfant depuis le Moyen-Age, c’est la mère que l’on « porte en soi » que les portraits d’Alexandra Bellamy questionnent à travers un protocole. La posture ou l’objet choisi par le modèle, bijou, foulard, vêtement, pour évoquer la mère deviennent la « concrétion » de la mémoire. La mise en scène sur un fond monochrome, éclairé d’une lumière douce, renvoie le sujet à son intériorité. Le regard se concentre, se retire, se perd. La légende qui accompagne ces portraits est percutante, dure ou drôle parfois, toujours émouvante. Ces tableaux dont l’organisation convoque la présence de la mère et en remémore l’absence sont, pour le regardeur, un appel troublant à un retour vers soi, vers sa propre intimité.
« Diversités et constance - Ordre et désordre », c’est ainsi que Françoise Deverre définit sa peinture. L’artiste, après 30 années de pratique sur la base du polyptyque, inaugure en 2018 de nouvelles séries. Les œuvres présentées dans l’exposition ont été réalisées ces quatre dernières années. Ce sont des toiles et des papiers pensés dans leur unicité. Toujours sans châssis, les œuvres font converger expressionnisme abstrait, informel, formes géométriques. Elles questionnent la peinture tout en proposant une mise en parallèle d’un monde fait de pluralités, de contradictions, de différences.
Photographies
07 mai au 04 juin 2022
→ lire ← fermerOuverture de la galerie
07 mai au 04 juin 2022
du mercredi au samedi : 15h – 19h
et
sur rendez-vous
Participation à la nuit des musées le samedi 14 mai, ouverture de 15h à minuit
Tél : +33 4 90 43 63 62 / +33 6 81 17 94 89
COULEUR, COLORE, COLOR
→ lire ← fermerOn découvre cet été au Corridor, dans l’exposition Couleur , Colore , Color, les photographies d’espaces « entre deux » de Luca Gilli, dont la perception est littéralement bouleversée par un trop plein de lumière, et les peintures de Philippe Judlin, de petits formats, résultat d’une multitude de couches colorées que la tranche garde en mémoire. Restitutions d’un monde spirituel, plein de lumière et de couleurs s’associant subtilement aux blancs et aux gris.
Luca Gilli photographie des chantiers en construction, des lieux incertains, entre deux affectations. La lumière dense, saturée et diffuse, les formes ou les objets sans ombres, libérés de la gravité, les couleurs des motifs comme travaillées au pinceau, renversent les repères habituels. Ses photographies, à la lisière du réel, procèdent d’une recherche primordiale de simplification, d’un cheminement vers l’épure.
Les peintures de Philippe Judlin, denses, minimalistes, toujours poétiques, résultent d’un long travail de sédimentation. Philippe Judlin peut mettre plusieurs années à les peindre, les laissant sécher à plat sur les étagères de son atelier, géométries vacillantes sur l’endroit, traces du temps sur la tranche. Et c’est paradoxalement à force de strates successives concentrées sur des supports de petite taille que l’artiste atteint l’essentiel, le nécessaire.
Photographies
03 juillet - 11 septembre 2021
→ lire ← fermerOuverture de la galerie
03 juillet - 11 septembre 2021
Fermeture du 07 au 14 août
du mercredi au samedi : 15h – 19h
et
sur rendez-vous
Tél : +33 4 90 43 63 62
Tél : +33 6 81 17 94 89
COULEUR, COLORE, COLOR
→ lire ← fermerOn découvre cet été au Corridor, dans l’exposition Couleur , Colore , Color, les photographies d’espaces « entre deux » de Luca Gilli, dont la perception est littéralement bouleversée par un trop plein de lumière, et les peintures de Philippe Judlin, de petits formats, résultat d’une multitude de couches colorées que la tranche garde en mémoire. Restitutions d’un monde spirituel, plein de lumière et de couleurs s’associant subtilement aux blancs et aux gris.
Luca Gilli photographie des chantiers en construction, des lieux incertains, entre deux affectations. La lumière dense, saturée et diffuse, les formes ou les objets sans ombres, libérés de la gravité, les couleurs des motifs comme travaillées au pinceau, renversent les repères habituels. Ses photographies, à la lisière du réel, procèdent d’une recherche primordiale de simplification, d’un cheminement vers l’épure.
Les peintures de Philippe Judlin, denses, minimalistes, toujours poétiques, résultent d’un long travail de sédimentation. Philippe Judlin peut mettre plusieurs années à les peindre, les laissant sécher à plat sur les étagères de son atelier, géométries vacillantes sur l’endroit, traces du temps sur la tranche. Et c’est paradoxalement à force de strates successives concentrées sur des supports de petite taille que l’artiste atteint l’essentiel, le nécessaire.
Peintures
03 juillet - 11 septembre 2021
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03 juillet - 11 septembre 2021
Fermeture du 07 au 14 août
du mercredi au samedi : 15h – 19h
et
sur rendez-vous
Tél : +33 4 90 43 63 62
Tél : +33 6 81 17 94 89
HORS-TEMPS
→ lire ← fermerExposition dédiée à Joelle Busca*
Réunir au Corridor, dans l’exposition Hors-temps les peintures de Sylvère et les sculptures de Dominique Lonchampt, est une évidence, tant leurs œuvres entrent en résonance et renvoient – telle une chambre d’échos - à une mémoire géologique, minérale. Hors des classifications temporelles, ils en donnent une traduction à la fois rigoureuse et délicatement poétique.
La peinture de Sylvère, faite d’affleurements, d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs revendique l’art de la paroi, l’essence même de l’art des origines.
Les sculptures de Dominique Lonchampt - Archives - se présentent comme le résultat d’une archéologie inversée : par ses façons de construire, d’assembler terre cuite, plomb, bois, carton, papier, d’associer cendres et oxyde de fer, de creuser la matière comme si elle l’extrayait de la paroi, par un travail de sédimentation, d’empilement des couches, elle rend palpable la mémoire du temps.
*Joëlle Busca, notre amie et critique d’art, nous a quittés en janvier 2021. Elle a écrit des textes magnifiques pour plusieurs des artistes que nous avons exposés, Dominique Lonchampt, Sylvère, Françoise Deverre, Philippe Judlin, Yoan Gil, Aurélie Aura, Augustin Pineau, Michel Rey et a réalisé des livres d’artiste avec certains d’entre eux. Nous voulons par cette exposition rendre un hommage à une écrivaine d’une subtilité intense, d’une justesse percutante, une érudite, amoureuse de l’art et des artistes.
Peintures
Ouverture galerie
→ lire ← fermerOuverture de la galerie
samedi 08 mai au 05 juin 2021
du mercredi au samedi : 15h – 19h
et
sur rendez-vous
Tél : +33 4 90 43 63 62
HORS-TEMPS
→ lire ← fermerExposition dédiée à Joelle Busca*
Réunir au Corridor, dans l’exposition Hors-temps les peintures de Sylvère et les sculptures de Dominique Lonchampt, est une évidence, tant leurs œuvres entrent en résonance et renvoient – telle une chambre d’échos - à une mémoire géologique, minérale. Hors des classifications temporelles, ils en donnent une traduction à la fois rigoureuse et délicatement poétique.
La peinture de Sylvère, faite d’affleurements, d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs revendique l’art de la paroi, l’essence même de l’art des origines.
Les sculptures de Dominique Lonchampt - Archives - se présentent comme le résultat d’une archéologie inversée : par ses façons de construire, d’assembler terre cuite, plomb, bois, carton, papier, d’associer cendres et oxyde de fer, de creuser la matière comme si elle l’extrayait de la paroi, par un travail de sédimentation, d’empilement des couches, elle rend palpable la mémoire du temps.
*Joëlle Busca, notre amie et critique d’art, nous a quittés en janvier 2021. Elle a écrit des textes magnifiques pour plusieurs des artistes que nous avons exposés, Dominique Lonchampt, Sylvère, Françoise Deverre, Philippe Judlin, Yoan Gil, Aurélie Aura, Augustin Pineau, Michel Rey et a réalisé des livres d’artiste avec certains d’entre eux. Nous voulons par cette exposition rendre un hommage à une écrivaine d’une subtilité intense, d’une justesse percutante, une érudite, amoureuse de l’art et des artistes.
Sculptures
Ouverture galerie
→ lire ← fermerOuverture de la galerie
samedi 08 mai au 05 juin 2021
du mercredi au samedi : 15h – 19h
et
sur rendez-vous
Tél : +33 4 90 43 63 62
MATIÈRE SENSIBLE
→ lire ←C’est à Hyères, l’été dernier, alors qu’Annie Lacour travaillait dans l’atelier de sa maison, entourée de pichets, bocaux, pots, arrosoirs à une série de natures mortes et que Michel poursuivait une recherche photographique à partir de boites métalliques trouvées dans la remise qu’est née l’idée d’une exposition qui ferait dialoguer leurs sculptures et photographies
L’exposition « Matière sensible » montre la traduction que chacun d’eux, dans la perpétuation du genre de la Nature morte, donne aux objets inanimés. Les médiums utilisés sont différents, mais, chez ces deux artistes, rien d’anecdotique, les œuvres témoignent d’une vie intense - paradoxe du genre qui résulte de la pose, du temps suspendu, de la vie silencieuse. La matérialité, et l’agencement des objets, la transmutation de leur statut, la sensibilité de la matière, l’équilibre des formes interrogent. Les compositions, les constructions deviennent fiction, questionnement.
Sculptures
1er juillet – 06 septembre 2020
Fermeture du 18 au 25 juillet et du 08 au 15 août
MATIÈRE SENSIBLE
→ lire ←C’est à Hyères, l’été dernier, alors qu’Annie Lacour travaillait dans l’atelier de sa maison, entourée de pichets, bocaux, pots, arrosoirs à une série de natures mortes et que Michel poursuivait une recherche photographique à partir de boites métalliques trouvées dans la remise qu’est née l’idée d’une exposition qui ferait dialoguer leurs sculptures et photographies
L’exposition « Matière sensible » montre la traduction que chacun d’eux, dans la perpétuation du genre de la Nature morte, donne aux objets inanimés. Les médiums utilisés sont différents, mais, chez ces deux artistes, rien d’anecdotique, les œuvres témoignent d’une vie intense - paradoxe du genre qui résulte de la pose, du temps suspendu, de la vie silencieuse. La matérialité, et l’agencement des objets, la transmutation de leur statut, la sensibilité de la matière, l’équilibre des formes interrogent. Les compositions, les constructions deviennent fiction, questionnement.
Photographies
1er juillet – 06 septembre 2020
Fermeture du 18 au 25 juillet et du 08 au 15 août
DE LUMIÈRE EN LUMIÈRE
→ lire ←Le Corridor invite dans l’exposition « de lumière en lumière », à une découverte déambulatoire et expérimentale des photographies de Yohann Gozard et des peintures en volume de madé :
Expérience de la perception bouleversée par les éclairages de nuit du photographe ou les auréoles colorées qui entourent les peintures de madé ;
Progressive découverte dans les images photographiques de non-lieux baignant dans une étrange lumière ;
Trouble devant les effets d’ombre et de lumière, de réverbération et de transparence des volumes peints ;
Perception de la rigueur poétique des œuvres de ces deux artistes au long processus de création fait de constructions, superpositions, retraits, effacements.
Photographies
30 juin 2019 – 22 septembre 2019
DE LUMIÈRE EN LUMIÈRE
→ lire ←Le Corridor invite dans l’exposition « de lumière en lumière », à une découverte déambulatoire et expérimentale des photographies de Yohann Gozard et des peintures en volume de madé :
Expérience de la perception bouleversée par les éclairages de nuit du photographe ou les auréoles colorées qui entourent les peintures de madé ;
Progressive découverte dans les images photographiques de non-lieux baignant dans une étrange lumière ;
Trouble devant les effets d’ombre et de lumière, de réverbération et de transparence des volumes peints ;
Perception de la rigueur poétique des œuvres de ces deux artistes au long processus de création fait de constructions, superpositions, retraits, effacements.
Peintures sculptures
30 juin 2018 – 22 septembre 2019
REMINISCENCES
→ lire ←L’exposition Réminiscences réunit dans les quatre espaces du Corridor les sculptures de Sophie Lavaux et les peintures de Sylvère. Sous des formes différentes les deux artistes interrogent les origines.
Nourries de réminiscences liées à la connaissance de la nature, de la beauté et sensualité de la matière, les sculptures de céramique de Sophie Lavaux fonctionnent comme des révélateurs de souvenirs enfouis.
La peinture de Sylvère faite d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs rejoint l’essence même de l’art des origines.
Sculptures
02 mai 2019 – 01 juin 2019
REMINISCENCES
→ lire ←L’exposition Réminiscences réunit dans les quatre espaces du Corridor les sculptures de Sophie Lavaux et les peintures de Sylvère. Sous des formes différentes les deux artistes interrogent les origines.
Nourries de réminiscences liées à la connaissance de la nature, de la beauté et sensualité de la matière, les sculptures de céramique de Sophie Lavaux fonctionnent comme des révélateurs de souvenirs enfouis.
La peinture de Sylvère faite d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs rejoint l’essence même de l’art des origines.
Peintures, Dessins
02 mai 2019 – 01 juin 2019
TERRITOIRES
→ lire ←L’exposition Territoires présentée au Corridor se déploie dans quatre espaces et offre un parcours original à travers peintures, dessins ou photographies-poèmes des artistes Max Charvolen, Krochka et du duo Théo Renaut & Bake, qui sont autant de questionnements sur les limites. Limites spatiales, espaces géographiques ou symboliques, frontières mentales.
Peintures
30 juin 2018 – 15 septembre 2018
TERRITOIRES
→ lire ←L’exposition Territoires présentée au Corridor se déploie dans quatre espaces et offre un parcours original à travers peintures, dessins ou photographies-poèmes des artistes Max Charvolen, Krochka et du duo Théo Renaut & Bake, qui sont autant de questionnements sur les limites. Limites spatiales, espaces géographiques ou symboliques, frontières mentales.
Peintures
30 juin 2018 – 15 septembre 2018
TERRITOIRES
→ lire ←L’exposition Territoires présentée au Corridor se déploie dans quatre espaces et offre un parcours original à travers peintures, dessins ou photographies-poèmes des artistes Max Charvolen, Krochka et du duo Théo Renaut & Bake, qui sont autant de questionnements sur les limites. Limites spatiales, espaces géographiques ou symboliques, frontières mentales.
Photographies
30 juin 2018 – 15 septembre 2018
QUESTIONS DE LIEUX
→ Lire ←Le Corridor propose une exposition intitulée Questions de lieux.
Elle réunit deux artistes qui s’engagent dans une libre interrogation de nos lieux de vie et de notre rapport au monde.
Yannick Délen photographie des zones. Zones industrielles, commerciales, résidentielles, lieux absents de figures humaines, parfois aux limites de l’abstraction.
Daniela Montecinos dessine et peint des histoires de précarité, d’errance - hommes aux limites de leurs vies, chiens errants, objets suspendus dans des lieux incertains.
Photographies
21 avril 2018 – 21 mai 2018
QUESTIONS DE LIEUX
→ Lire ←Le Corridor propose une exposition intitulée Questions de lieux.
Elle réunit deux artistes qui s’engagent dans une libre interrogation de nos lieux de vie et de notre rapport au monde.
Yannick Délen photographie des zones. Zones industrielles, commerciales, résidentielles, lieux absents de figures humaines, parfois aux limites de l’abstraction.
Daniela Montecinos dessine et peint des histoires de précarité, d’errance - hommes aux limites de leurs vies, chiens errants, objets suspendus dans des lieux incertains.
Peintures, Dessins
21 avril 2018 – 21 mai 2018
FUTUR ANTERIEUR
→ lire ←L’exposition Le futur antérieur réunit des œuvres de Sylvère.
« Artiste en perpétuel recherche de cet « avant ce que nous appelons le temps » selon les mots de Michel Butor. Ce peintre ironique, auteur d’un Cinq minutes avant Lascaux et de séries d’œuvres intitulées Rupestres ou Parois a trouvé dans ses gravures de parois aux formes géométriques une voie d’accès aux « pulsions primitives », une façon de « pencher plutôt du côté de l’originel que de l’original »
Texte tiré de L’art moderne face à l’art des cavernes - Le futur antérieur
Jean-Paul Jouary, 2016.
Peintures
09 décembre 2017 – 30 décembre 2017
SILENCES
→ lire ←L’exposition Silences réunit une vidéo et des photographies de Caroline Duchatelet, les peintures de Philippe Judlin et les photographies de Sandra Kunz et de Gilles Pandel.
Caroline Duchatelet explore le champ de la vidéo, elle filme l’aube pour accueillir la naissance du visible et laisser la lumière faire son œuvre de silence.
Philippe Judlin propose une peinture où en larges aplats les blancs, les gris et les autres couleurs se substituent aux images saintes des icônes. Chaque œuvre flotte dans l’espace comme une vie silencieuse.
Dans les images de Sandra Kunz, il y a le visible, né d’observations. Mais en sortant les sujets de leur contexte, en faussant le point de vue, elle désoriente le regard et invente un monde impalpable et étrangement poétique.
Gilles Pandel sculpte au ciseau informatique le visage d’ Antoine d’Agata en noir et blanc pour retrouver l’obscurité, le silence de l’intime.
Silences pluriels. Un silence et un autre silence, temps brusquement arrêté, temps lentement déroulé vers la lumière. En des formes différentes les quatre artistes nous donnent à voir un monde où le bruit s’efface pour faire place au silence comme si une scène de vie se trouvait coupée du son qu’il nous appartient alors de réinventer et de prolonger.
Vidéos et Photographies
01 juillet 2017 – 17 septembre 2017
SILENCES
→ lire ←L’exposition Silences réunit une vidéo et des photographies de Caroline Duchatelet, les peintures de Philippe Judlin et les photographies de Sandra Kunz et de Gilles Pandel.
Caroline Duchatelet explore le champ de la vidéo, elle filme l’aube pour accueillir la naissance du visible et laisser la lumière faire son œuvre de silence.
Philippe Judlin propose une peinture où en larges aplats les blancs, les gris et les autres couleurs se substituent aux images saintes des icônes. Chaque œuvre flotte dans l’espace comme une vie silencieuse.
Dans les images de Sandra Kunz, il y a le visible, né d’observations. Mais en sortant les sujets de leur contexte, en faussant le point de vue, elle désoriente le regard et invente un monde impalpable et étrangement poétique.
Gilles Pandel sculpte au ciseau informatique le visage d’ Antoine d’Agata en noir et blanc pour retrouver l’obscurité, le silence de l’intime.
Silences pluriels. Un silence et un autre silence, temps brusquement arrêté, temps lentement déroulé vers la lumière. En des formes différentes les quatre artistes nous donnent à voir un monde où le bruit s’efface pour faire place au silence comme si une scène de vie se trouvait coupée du son qu’il nous appartient alors de réinventer et de prolonger.
Peintures
01 juillet 2017 – 17 septembre 2017
SILENCES
→ lire ←L’exposition Silences réunit une vidéo et des photographies de Caroline Duchatelet, les peintures de Philippe Judlin et les photographies de Sandra Kunz et de Gilles Pandel.
Caroline Duchatelet explore le champ de la vidéo, elle filme l’aube pour accueillir la naissance du visible et laisser la lumière faire son œuvre de silence.
Philippe Judlin propose une peinture où en larges aplats les blancs, les gris et les autres couleurs se substituent aux images saintes des icônes. Chaque œuvre flotte dans l’espace comme une vie silencieuse.
Dans les images de Sandra Kunz, il y a le visible, né d’observations. Mais en sortant les sujets de leur contexte, en faussant le point de vue, elle désoriente le regard et invente un monde impalpable et étrangement poétique.
Gilles Pandel sculpte au ciseau informatique le visage d’ Antoine d’Agata en noir et blanc pour retrouver l’obscurité, le silence de l’intime.
Silences pluriels. Un silence et un autre silence, temps brusquement arrêté, temps lentement déroulé vers la lumière. En des formes différentes les quatre artistes nous donnent à voir un monde où le bruit s’efface pour faire place au silence comme si une scène de vie se trouvait coupée du son qu’il nous appartient alors de réinventer et de prolonger.
Photographies
01 juillet 2017 – 17 septembre 2017
SILENCES
→ lire ←L’exposition Silences réunit une vidéo et des photographies de Caroline Duchatelet, les peintures de Philippe Judlin et les photographies de Sandra Kunz et de Gilles Pandel.
Caroline Duchatelet explore le champ de la vidéo, elle filme l’aube pour accueillir la naissance du visible et laisser la lumière faire son œuvre de silence.
Philippe Judlin propose une peinture où en larges aplats les blancs, les gris et les autres couleurs se substituent aux images saintes des icônes. Chaque œuvre flotte dans l’espace comme une vie silencieuse.
Dans les images de Sandra Kunz, il y a le visible, né d’observations. Mais en sortant les sujets de leur contexte, en faussant le point de vue, elle désoriente le regard et invente un monde impalpable et étrangement poétique.
Gilles Pandel sculpte au ciseau informatique le visage d’ Antoine d’Agata en noir et blanc pour retrouver l’obscurité, le silence de l’intime.
Silences pluriels. Un silence et un autre silence, temps brusquement arrêté, temps lentement déroulé vers la lumière. En des formes différentes les quatre artistes nous donnent à voir un monde où le bruit s’efface pour faire place au silence comme si une scène de vie se trouvait coupée du son qu’il nous appartient alors de réinventer et de prolonger.
Photographies
01 juillet 2017 – 17 septembre 2017
EMERGENCES
→ lire ←L’exposition Émergences réunit les peintures de Fabien Boitard et les photographies de Luca Gilli.
Le premier nous propose une série de toiles autour de l’eau, le second nous invite à un parcours du noir et blanc au blanc primordial.
Au-delà des différences formelles, les deux artistes invitent notre regard à se déplacer entre fond et objet, chacun d’eux pouvant ainsi devenir l’élément principal. Le mouvement du regard change le mode d’apparition des objets, de leurs aspects. Émergent alors au sens physique du terme, d’autres présences dans le surgissement de la lumière.
Peintures
01 avril 2017 – 06 mai 2017
EMERGENCES
→ lire ←L’exposition Émergences réunit les peintures de Fabien Boitard et les photographies de Luca Gilli.
Le premier nous propose une série de toiles autour de l’eau, le second nous invite à un parcours du noir et blanc au blanc primordial.
Au-delà des différences formelles, les deux artistes invitent notre regard à se déplacer entre fond et objet, chacun d’eux pouvant ainsi devenir l’élément principal. Le mouvement du regard change le mode d’apparition des objets, de leurs aspects. Émergent alors au sens physique du terme, d’autres présences dans le surgissement de la lumière.
Photographies
01 avril 2017 – 06 mai 2017
ECRITURES
→ lire ←L’exposition Ecritures réunit des œuvres de Mehdi Moutashar, la peinture de Sylvère et les photographies de Jacqueline Salmon.
Mehdi Moutashar, plasticien. Dans son travail d’écriture se rejoignent les fondements de la tradition arabo-musulmane et les ressources du minimalisme géométrique. Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses galeries nationales et internationales.
Sylvère, peintre. Son travail artistique fait d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs rejoint l’essence même de l’art des origines. Auteur de nombreux livres d’artiste, il est représenté dans des collections publiques.
Jacqueline Salmon, photographe. Auteur de nombreuses monographies, représentée dans les collections nationales, elle explore depuis 2009 avec les cartes des vents et l'écriture du temps, une poétique des relations entre photographie, dessin et météorologie.
Plasticien
19 juillet 2016 – 11 septembre 2016
ECRITURES
→ lire ←L’exposition Ecritures réunit des œuvres de Mehdi Moutashar, la peinture de Sylvère et les photographies de Jacqueline Salmon.
Mehdi Moutashar, plasticien. Dans son travail d’écriture se rejoignent les fondements de la tradition arabo-musulmane et les ressources du minimalisme géométrique. Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses galeries nationales et internationales.
Sylvère, peintre. Son travail artistique fait d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs rejoint l’essence même de l’art des origines. Auteur de nombreux livres d’artiste, il est représenté dans des collections publiques.
Jacqueline Salmon, photographe. Auteur de nombreuses monographies, représentée dans les collections nationales, elle explore depuis 2009 avec les cartes des vents et l'écriture du temps, une poétique des relations entre photographie, dessin et météorologie.
Photographies
19 juillet 2016 – 11 septembre 2016
ECRITURES
→ lire ←L’exposition Ecritures réunit des œuvres de Mehdi Moutashar, la peinture de Sylvère et les photographies de Jacqueline Salmon.
Mehdi Moutashar, plasticien. Dans son travail d’écriture se rejoignent les fondements de la tradition arabo-musulmane et les ressources du minimalisme géométrique. Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses galeries nationales et internationales.
Sylvère, peintre. Son travail artistique fait d’empreintes, de traces, de lignes, de couleurs, de signes géométriques simples et répétitifs rejoint l’essence même de l’art des origines. Auteur de nombreux livres d’artiste, il est représenté dans des collections publiques.
Jacqueline Salmon, photographe. Auteur de nombreuses monographies, représentée dans les collections nationales, elle explore depuis 2009 avec les cartes des vents et l'écriture du temps, une poétique des relations entre photographie, dessin et météorologie.
Peintures
19 juillet 2016 – 11 septembre 2016